Je suis particulièrement touchée et fière d’accueillir aujourd’hui Frédéric Lippi. En effet, je suis depuis plus de 10 ans toujours mue par les mots que j’avais entendu de Frédéric à l’époque: La confiance doit être inconditionnelle… on doit faire confiance a priori…

Frédéric et son frère Julien sont entrepreneurs par atavisme, et en reprenant l’entreprise familiale en 2008, ils décident de réinventer le management de LIPPI et sont donc des pionniers en France de l’entreprise libérée. Vous le verrez, le discours est donc un peu différent de ce que nous entendons actuellement. Il est plein de recul et d’apprentissages, sur fond de “patience”. 

Et je ne résiste pas à l’envie de le citer: 

“Dans le monde professionnel, on ne déplace les montagnes qu’en regardant ses collaborateurs avec les yeux de la confiance. En entreprise, nous sommes tous habitués à devoir prendre des décisions(…) Mais au préalable, ne pas convoquer la confiance en entreprise est un drame. Il n’y a aucun progrès, aucun espoir d’autonomie dans l’injonction. Un collaborateur peut se tromper. La confiance doit être à la fois inconditionnelle et contextuelle”

Aujourd’hui, grâce à un mode de management original, les équipes Lippi peuvent fonctionner en structures mobiles se constituant de manière temporaire en fonction des projets que chacun peut initier, voire être amené à piloter.

Cette agilité, autorisée par un organigramme interne relativement plat, permet d’analyser et de résoudre les problèmes de façon quasi spontanée, et donc des prises de décisions plus rapides.

Ce mouvement perpétuel pour les collaborateurs, tant dans la génération d’idées que dans leur concrétisation, a conduit à la création de produits et services nouveaux chez Lippi.

Je vous souhaite une bonne écoute ! Et n’hésitez pas à partager l’épisode, le noter, le faire vivre!